Passion FERRARI

La 250 GT California Spider

Si la finition s'approche de celle réalisée sur la 250 GT Cabriolet Pinin Farina I, l'habitacle de California est néanmoins « spartiate »14 et bien moins luxueux8. Sur le tableau de bord, sept cadrans circulaires, dont le tachymètre et le compte-tours, informent le conducteur du fonctionnement du moteur15. Ces derniers sont tous disposés derrière le volant trois branches Nardi, en bois et en aluminium, sur la version LWB alors qu'ils s'alignent sur la planche de bord pour la version SWB.

Énergie : Essence Moteur(s) : V12 à 60°, 24s Position du moteur Longitudinale avant Cylindrée : 2 953 cm3 Puissance maximale SWB : 280 ch Boîte de vitesses Manuelle 4 viteses

La 250 GT California Spider

La 275 GTB/4

Présentée au salon de Paris de 1966 et dotée, comme son nom l'indique, d'une distribution à quatre arbres à cames en tête, la 275 GTB/4 est la première Ferrari de route ainsi équipée. Bien qu'il présente les mêmes cotes, son V12 diffère à maints égards du moteur à arbre unique par banc de cylindres (dont la présence d'un carter sec).


La 275 GTB/4

La Ferrari 250 LM

La Ferrari 250 LM est une automobile de course développée par le constructeur italien Ferrari. Présentée à Paris en novembre 1963, la Ferrari 250 LM (pour « Le Mans ») est une déclinaison Grand Tourisme de la Ferrari 250 P.

Énergie : Essence Moteur(s) : V12 à 60° « Colombo » Position du moteur Longitudinale centrale arrière Cylindrée : 2953 cm³ (1er ex.) puis 3286 cm3 Puissance maximale : 320 ch Couple maximal : 294 Nm puis 435 Nm Transmission Propulsion Boîte de vitesses : Boîte manuelle 5 rapports

La Ferrari 250 LM

La 250 GTO

Type avant, longitudinale 60 ° V12 Alésage / course : 73 x 58,8 mm Déplacement unitaire : 246,10 cc Cylindrée totale : 2,953,21 cc Taux de compression :9,8: 1 Puiss max :221 kW (300 ch) à 7400 rpm Puissance par litre 102 ch / l Valve actionnement arbres à cames simples par banque, deux soupapes par cylindre alimentation en carburant six carburateurs Weber 38 DCN Allumage bougie d'allumage par cylindre, deux bobines Lubrification carter sec Embrayage plaque unique

C'était la voiture qui résume la philosophie Ferrari mieux: les plus hauts niveaux de performance et de style. Créé par une équipe dirigée par Giotto Bizzarrini, il doit ses lignes à la recherche menée dans une soufflerie.

La 250 GTO

La 250 GT 2 + 2 a été la première voiture à quatre places

Les cinquante dernières voitures construites (la dernière voiture a quitté l'usine à la fin de 1963) ont été équipés avec le moteur V12 de 4 litres de la 330 Amérique.


La 250 GT 2 + 2 a été la première voiture à quatre places

Les Dino 246 GT

Il s'agit du second modèle de série proposé sous la marque Dino. Elle dérive de la précédente Dino 206 GT, laquelle dérivait de la version compétition 206 S.De la 206 GT elle a gardé l'allure et la plupart des éléments de carrosserie. Le moteur évolue pour plus de souplesse et sa cylindrée passe de 2,0L. à 2,4L.. La principale différence réside dans l'allongement de la voiture de 9,4 cm, dont 6 cm pour l'empattement.

Moteur(s) : Essence V6 2,4 L (6 cylindres en V) Puissance maximale : 195 ch Couple maximal : 245 Nm Transmission :Propulsion Poids et performances Poids à vide : 1 080 kg Vitesse maximale : 235 km/h Accélération : 0 à 100 km/h en 7,4 s

Les Dino 246 GT







250 GTO 1964

Pour être tout à fait clair sur le nombre de GTO construites, la vérité est la suivante: 33 250 GTO série I ont été produites, dont une (4713GT) avec une carrosserie "LMB". Trois 250 Série II ont été produites. Mais quatre Série I ont été retournées à l'usine à un moment donné pour recevoir la nouvelle carrosserie type '64. Esthétiquement, il existe donc sept GTO type '64, 28 GTO type '62 et une " LMB"

En 1964, la suprématie de la 250 GTO commençait à être sérieusement contestée par les Cobra principalement. Ferrari tenta un coup de poker en essayant de faire homologuer la 250 LM comme une GT mais la ficelle était trop grosse et la FIA refusa, passant la voiture en catégorie prototype (ce qui ne l'empêcha pas de remporter les 24 Heures du Mans en 1965). Ferrari dut alors assembler en urgence trois 250 GTO Série II (ou GTO 64) avec une carrosserie modifiée.

250 GTO 1964

365 GTB/4 de 1969

A la fin des années 60, Ferrari n'est pas au mieux de sa forme. L'indépendance financière de Ferrari a été mise à mal et après des approches avec Ford, c'est finalement Fiat qui deviendra actionnaire de Ferrari Spa. Ford, déçu, attaque Ferrari en endurance en lui infligeant une humiliation au Mans plusieurs années de suite. Et comme si cela ne suffisait pas, c'est sur la route que son fougueux voisin, Ferruccio Lamborghini, vient lui damer le pion avec la très innovante et spectaculaire Miura.


365 GTB/4 de 1969

La Ferrari 250 GT Lusso

Fidèle à la « tradition » Ferrari de l'époque, la 250 GT Lusso est dessinée par le carrossier turinois Pininfarina et carrossée par Scaglietti. Bien que l'habitacle soit plus spacieux que celui de la 250 GT, la GT Lusso demeure un coupé GT deux places, contrairement à la 250 GTE, coupé 2+2. Fabriquée pendant seulement dix-huit mois, de début 1963 à milieu 1964, elle est le dernier modèle de la génération des Ferrari 250 GT.

La Ferrari 250 GT Lusso marque également l'aboutissement de la stratégie commerciale d'Enzo Ferrari, selon laquelle « Ferrari vendait des voitures de courses, des voitures de courses doublées de routières, des routières pouvant faire de la compétition, et des routières tout court17 ». Si de cette manière, Ferrari est devenu un constructeur automobile à part entière et s'est constitué une importante clientèle, son seul intérêt était en réalité de financer sa passion pour la compétition automobile

La Ferrari 250 GT Lusso
250 GT California SWB
DINO 246 GT
250 GT
DINO 246 GTS
250 GTO
250 GTO
BERLINETTA LUSSO
365 GTB/4
250 GTO
275 GTB4
250 LM
1960
1961
1962
1964
1965
1966
1968
1969



